La magie opéra lorsque je t'ai rencontré
Et que nos yeux se sont croisés
Affirmant une réelle étincelle,
Magie que tu as su me donner par espérance
De tous ces longs mois d'attentes infernales
Pour un aboutissement néantissime...
Que de mensonges, de faux-semblants,
De malhonnêteté, toi qui disait m'aimer
Avec tant de belles paroles, mais non
De faits réels prouvant cet amour,
Tu n'es pas maître de ta vie tout en étant libre
Tant que tu seras enchaîné par ce boulet
Qui te colle à la peau, et qui se sert de toi
A des fins judicieuses dépourvues d'irrespects
Et de machinations intrigantes...
Ta mémoire te joue des tours de magie sombre
Qui te donne des hallucinations,
Arrête de fumer ces mauvaises ondes perverses
Qui te poussent à ne plus penser à toi, à nous...
Et de devenir cette ombre maussade
Errant dans cette brume
A passer à côté de ta future vie de bonheur...
Sers-toi de cette magie pour reprendre ton souffle
Et éliminer ces parasites,
T'attirant dans ses maudits filets
A t'abandonner à cette extrême affliction
Qui arrivera à te détruire...
Sache qu'il sera trop tard pour nous,
Lorsque soudainement tu te réveilleras
Pour constater que cette belle magie étincelante
N'opérera plus et sera éteinte à jamais,
Qui te donnera à ton tour
Ce coeur si lourd de regrets,
De ne pas avoir su
Prendre ce chemin du bonheur,
Mais qui pour moi,
Restera à jamais graver à mon organe de vie,
Cet enfer brûlant à essayer
A... t'oublier...
Texte de Cathy ( Babbeth )
© Copyright 2013